La pression à s’épanouir
En effet, une étude menée par le chercheur néerlandais, Egon Dejonckheere, prouve bien que forcer le bonheur est toxique. L’étude se concentre sur les pays nordiques, censés être les plus heureux et pourtant, avec un fort taux d’anxiété chez les habitants. En effet, ces derniers ressentent beaucoup de pression pour s’épanouir et cela a des conséquences dévastatrices 😅.
Plus on nous dit d’être heureux.se, plus cela devient source d’angoisse. On se met alors à ressentir de la culpabilité par rapport au fait qu’on ne se sente pas épanoui et on se compare aux autres. Ces derniers semblent plus heureux, mieux lotis et donc on se dévalorise.
👉 Bien évidemment, les réseaux sociaux sont un frein au bonheur, puisqu’il accentue cet effet de comparaison.
Bref, c’est une sorte de complexe d’infériorité liée au bonheur ! Au lieu de nous concentrer sur les émotions actuelles, on se focalise sur celle que l’on “devrait” ressentir, ce que la société attend de nous. Cela creuse forcément un fossé et une dissonance cognitive, on a l’impression que le bonheur est inaccessible 🙃…
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