Comment oser aller vers les autres ? 7 conseils à suivre

Mis à jour le par Camille Bennett

La grosse introvertie que je suis, a longtemps eu du mal à aller vers les autres. C’est vrai qu’il n’est pas simple de faire un pas vers autrui, surtout quand on a des difficultés supplémentaires : introversion, manque de confiance en soi, anxiété sociale… Pour être un peu concernée par tout cela, mais ayant fait du progrès ces dernières années, j’ai quelques conseils à vous donner pour que vous aussi, vous puissiez sortir de votre coquille. C’est parti !

Comment oser aller vers les autres ? 7 conseils à suivre

1. Identifier ses forces

Tout le monde a des super-pouvoirs. C’est ce que j’essaie de me dire, malgré mon manque de confiance en moi 😅. Cette phrase n’est pas anodine, puisqu’elle me pousse à me rappeler mes forces. C’est ça que vous devez faire également, vous dire qu’il est important pour vous d’identifier vos points forts.

Une femme qui écoute

Par exemple, les introvertis ont souvent une grande capacité d’écoute, une observation fine ou encore une réflexion profonde.

D’ailleurs, l’étude “Positive psychology progress: Empirical validation of interventions” menée par Martin Seligman, a révélé que le fait de reconnaître et d'utiliser activement ses points forts peut avoir un impact positif durable sur la confiance en soi. Alors, on n'hésite pas à miser sur nos atouts pour briller dans nos interactions !

👋 Cet article pourrait vous plaire : Les 7 super-pouvoirs des hypersensibles 💪

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2. Se fixer des petits défis

Quand on a peur de ne pas avoir de conversation ou de faire des trucs gênants, on doit apprendre à maîtriser d’abord des petites situations sociales. Au début, j’avais tellement d’anxiété, qu’aller à une soirée où je connaissais seulement une personne, me tétanisait. Pour sortir de ça, je me suis dit que je devais petit à petit mettre en place des stratégies pour me sentir plus à l’aise avec des inconnus.

👉 Vous pouvez commencer par sourire à 3 personnes par jour, puis passer à des "bonjour" la semaine suivante, initier une mini-conversation...

À force de parler à des inconnus, je suis devenue de plus en plus à l’aise. Il faut repousser ses limites, mais toujours pas à pas 🤗.

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3. Miser sur ses centres d'intérêt

Mes amies me le disent souvent : je suis une personne intéressante, qui des passions surprenantes. Tête de mule, je refusais d'accepter leurs compliments 😓. Sauf qu'en travaillant sur moi, j'ai en effet constaté que mes centres d'intérêt pouvaient être super enrichissants pour d'autres personnes

J’ai donc décidé de miser sur cela pour créer du lien plus facilement. Quand on me demande ce que je fais dans la vie, je ne parle pas uniquement de mon métier, mais de tout ce qui me passionne. C’est un liant naturel qui permet d’avoir des échanges spontanés et authentiques !

📌

Vous pouvez aussi vous appuyer sur vos passions pour vous rapprocher d’un club, une asso, un atelier en lien avec votre centre d’intérêt pour rencontrer de nouvelles personnes. Il est plus facile d’aller vers les autres quand on sait qu’on a déjà un point commun.

👋 Cet article pourrait vous plaire : Je déteste les compliments, pourquoi me font-ils me sentir aussi mal ?

Et si vous osiez enfin croire en vous ? 🌼

Le doute, la peur du regard des autres, l’impression de ne jamais être assez… Ça vous parle 🤐 ? Nos psy et coachs sont là pour vous aider à renforcer votre confiance et vous révéler pleinement. C'est le moment de croire en la meilleure personne : vous-même 🥰 : 

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4. Rester focus sur l’autre

Une des choses que je trouve essentielle dans un échange, c’est de rester focus sur l’autre. Souvent, quand on a de l’anxiété, on se perd souvent dans nos pensées. Vous savez, c'est des pensées du type “qu’est-ce qu’il ou elle pense de moi ?”, “est-ce que je suis gênant·e ?”, “j’ai dit ça, j’aurais pas dû”, etc. Sauf que tout cela nous déconnecte complètement de l’autre, notre attention est tournée vers nous-même 🙃.

Alors pour éviter de faire cela, on doit faire preuve de :

  • 👉 Curiosité : on lui pose des questions et on attend sincèrement une réponse,
  • 👉 Reformulation : si on n’a mal compris quelque chose, on n’hésite pas à reformuler ce que l’autre à dit,
  • 👉 Rebond : on n’hésite pas à rebondir sur ce que l’autre partage en apportant notre point de vue ou notre expérience.

Ces clients témoignent de l'aide que leur a apporté une consultation avec un psy ou un coach sur Wengo ⭐

Clémence

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"Je cherchais du sens dans ma vie et cette consultation m’a vraiment aidée à y voir plus clair. Une belle révélation !"

Hugo

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"J’ai appris des choses sur moi que je n’avais jamais réalisées avant. Ça m'a boosté, merci !"

Nathalie

★★★★★

"Des prises de conscience qui changent tout grâce à Mme Bernard. Un accompagnement précieux pour mieux se comprendre et évoluer."

Vanessa

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"J’ai rarement ressenti un tel bien-être après une consultation. Ça fait vraiment du bien !"

5. S’exposer à des situations “safe”

Je reviens un peu sur le deuxième point : lorsqu’on se lance des défis, on doit faire attention à s’exposer à des situations “safe”. Non pas que l’on risque quoi que ce soit (à part peut-être une crise de panique 🤧…) ! Comme je l’ai mentionné, aller à une soirée remplie d’inconnus quand on n’ose JAMAIS aller vers les autres, c’est effrayant 😱.

On doit s’exposer à des situations plus légères dans notre vie quotidienne : quelques mots échangés avec une caissière ou le chauffeur de notre Uber par exemple. Petit à petit, on s’initie au small talk sans la pression des enjeux !

À savoir

Une autre étude fascinante dans la revue Personality and Social Psychology Bulletin (Sandstrom & Dunn, 2014) a montré que les interactions sociales quotidiennes, même brèves et superficielles, contribuent significativement à avoir une meilleure confiance en soi également héhé 😌.

🔎 Le saviez-vous ?

Un manque de confiance en soi peut freiner les opportunités, alimenter l’auto-sabotage et générer anxiété et frustration. Travailler sur son estime personnelle permet de déconstruire ses croyances limitantes, de s’affirmer avec sérénité et d’oser saisir de nouvelles opportunités.

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6. Oser être soi

"L'authenticité est la base de toute relation épanouissante" comme le dit si bien la psychanalyste, Paola Mieli. Plutôt que d’essayer de se conformer à la masse, on doit mettre en avant ce qui fait qu’on est qui on est. Je l’ai dit, avant, je pensais que tout le monde était comme moi, je ne voyais pas mes spécificités 🙁.

Sauf que c’est faux, on a tous et toutes quelque chose qui nous rend spécial·e et il ne faut pas hésiter à le montrer aux autres. Pourquoi ? Parce que les gens sont naturellement attirés par une personnalité authentique et sincère !

Une femme punk

Osez être vous ! Les gens vous le rendront bien en s’intéressant à qui vous êtes.

7. Accepter l’inconfort

C’est sans doute le plus difficile, surtout quand on est hypersensible, comme moi 🙈. Ressentir de l’inconfort et de la gêne ou encore embrasser nos peurs, c’est tétanisant. Nonobstant, il est crucial d’apprendre à les accepter pour mieux oser aller vers les autres.

👉 Comment fait-on ? Vous devez vous dire que Rome ne s’est pas faite en un jour ! Oui, vos premières interactions seront probablement inconfortables, mais c’est normal puisque c’est le début !

Moi, j'ai ressenti énormément de gêne due à mes maladresses lors des premiers échanges. Toutefois, en me disant que ça pouvait se produire et en faisant preuve d’auto-compassion, j’ai continué. Et lorsque j’ai constaté qu’un échange s’était bien passé ou que j’avais créé un lien, je me suis appuyée sur ça ! Nourrissons-nous de nos victoires, plutôt que de nos échecs pour avancer 💪.

L'avis de la rédaction : 

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Camille Bennett

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Je n'ose pas dire ce que je pense, et si on se libérait ?

Je suis plutôt colérique. Cette colère vient souvent du fait que je me retiens, je rumine, je pense et je ne dis rien. Je regarde les autres avoir réponse à tout et moi je me tais. Je n'arrive pas à dire ce que je pense. Peur qu'on me tourne le dos, de ne pas être à la hauteur, de choquer, je garde tout en moi, jusqu'à ce que ça explose... sur le premier qui passe par là et qui n'avait rien demandé. Il faut que ça change !

Le complimerde, ces saloperies déguisées qui font du mal !

“Elle te va bien cette robe, pour une fois que tu en mets une qui ne te grossit pas.” Et bim, mamie est en forme ! C’est ce qu’on pourrait appeler un “complimerde”, ça part d’une remarque sympa et ça finit en phrase méchante (ou déplacée). Qui n’a jamais entendu ce genre de saloperie ? Personnellement, j’en ai souvent entendu vis-à-vis de mon poids. Des petits “tu as un beau visage” qui sous-entendent qu’il n'y a bien que ça de beau chez moi, au moins il rattrape le reste… Oui, c'est bien de ce genre de compliments foireux dont on parle !

Toutes les vulves sont belles

Au cours de notre vie, on peut très bien ne jamais se poser de question sur notre vulve et puis un jour on la regarde ou on la montre et ce qu'on voit ou donne à voir étonne, pose question ou pire encore. Résultat, notre vulve nous complexe, on est gênée à l'idée de la montrer et on pense même à la chirurgie esthétique. Et si à la honte ou au bistouri, on préférait l'amour ? Il existe différents types de vulves, elles sont toutes belles, il faut juste le savoir et apprendre à aimer la sienne.

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Cette phrase, il m’arrive de la prononcer. Il y a des jours où je me sens bien et/ou belle, alors quand je me regarde dans le miroir je me dis “Je m’aime” et ça fait du bien. Pourtant, je manque cruellement de confiance en moi. Il y a des tas de choses qui font que ce sont les montagnes russes pour m’aimer, aujourd’hui j’ai décidé de vous parler de tout cela dans cet article très intime. Quand l’amour de soi est un long chemin…

“Jamais assez bien” : allez hop, on en finit avec ce sentiment !

Pendant longtemps, une pensée m’envahissait constamment : je ne suis pas assez. Dans le sens où je n’étais pas assez bien pour tel mec ou tel job. Parfois même, j'avais justement un gros sentiment d’insatisfaction, ce que je faisais n’était juste pas assez bien. Bref, je me dépréciais et je ne pouvais pas être heureuse en ressentant ça. Aujourd’hui, je me suis libérée de ce sentiment et comme j’ai à cœur d’aider les autres, je vous en parle.

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Quand on pense à l'amour, on pense toujours à l'autre et au couple. La preuve avec la Saint-Valentin ! Cependant, j'ai envie que tout le monde apprenne à penser autrement. Amour et soi peuvent être compatibles et je pense même que c'est mieux de l'envisager ainsi ! Néanmoins, il n'est pas simple d'apprendre à s'aimer, surtout quand on a toujours eu l'habitude de se déprécier. Voici donc mes conseils pour faire de soi, sa propre priorité !

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