Être une bad girl, ça fait du bien !

Mis à jour le par Lauriane Amorim

Vous avez entendu ce cri ? Ça arrive de temps en temps. C'est la bad girl enfermée au fond de moi qui hurle qu'il est grand temps que je lui fasse prendre l'air. Oh oui, j'ai beau être très gentille, polie et attentionnée, il y a toujours un moment où je n'en peux plus de m'excuser. Il faut que ça tabasse ! Posez le sourire et sortez les griffes, on laisse s'exprimer la bad girl en nous.

Être une bad girl, ça fait du bien !

Moi et ma bad girl

Le monde ne se divise pas entre celles qui seraient douces comme une lingette démaquillante et celles qui hurleraient sur tout le monde, toutes griffes vernies dehors 💅. La good girl et la bad girl cohabitent en nous. Il arrive que souvent, l’âge, la société, notre éducation, la politesse et un brin de lâcheté donnent de nous l’image d’une bonne fifille sympa, un peu trop gentille sur les bords et pas tellement à l’aise dans ses baskets

En fait, ça s'appelle surtout le contrôle de soi. On vit en société, alors on s'adapte aux codes, aux règles et on évite de mordre le moindre mollet qui passe. Mais qui peut vivre indéfiniment comme ça sans jamais se sentir frustrée ? Personne ! Pour être tout à fait bien dans sa vie, il faut parfois lâcher la bride et laisser s'échapper la bad girl qui sommeille en nous.

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Double-face pour un épanouissement

Quand je pense bad girl, je pense à Catwoman, jouée par Michelle Pfeiffer dans Batman, le défi. La Selina Kyle de Tim Burton est tout d'abord une jeune femme naïve, effacée, solitaire dans son monde de petite fille. Une vraie fille à chat, seule et paumée. Lorsqu'elle est jetée de plusieurs étages, elle revient à la vie, comme une chatte (parce que les chattes ont 9 vies), mais aussi comme une bad girl. Enfin vivante, libre, sexy, provocante et agressive Selina Kyle devient Catwoman. Une véritable bad girl, mais une bad girl plus tout à fait stable et animée par un désir de vengeance pour qui il n'y a aucun retour en arrière. Cette bad girl ne sera plus jamais une good girl...

Pour plus de sérénité d'esprit mieux vaut peut-être donc alterner entre sa good et sa bad girl.

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Et si vous osiez enfin croire en vous ? 🌼

Le doute, la peur du regard des autres, l’impression de ne jamais être assez… Ça vous parle 🤐 ? Nos psy et coachs sont là pour vous aider à renforcer votre confiance et vous révéler pleinement. C'est le moment de croire en la meilleure personne : vous-même 🥰 : 

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Pourquoi faire de la place à sa bad girl ?

La réponse est simple : parce que ça fait un bien fou et que ça booste la confiance en soi. À être trop sage, tout le temps, on risque de finir par se sentir mal dans notre peau. Je parlais de lâcheté un peu plus haut, manquer de courage, ça arrive et ce n'est pas bien grave. 

On a parfois tout à gagner à se taire et à se faire plus discrète, mais on ne peut pas passer une vie entière à ne pas oser, parce que rien n'est pire pour l'estime de soi que la sensation qu'on n’est pas capable d'être maîtresse de notre vie. Laisser s'exprimer notre côté bad girl nous aide à nous sentir libres, plus vivantes et permet aussi aux autres de mieux nous connaître et de nous respecter un peu plus.

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Portrait-robot de ma bad girl

En ce qui me concerne, ma bad girl ne s'exprime presque jamais dans le milieu professionnel 😨. Non, la mienne, c'est une bombe sexy 💣. Quand je décide de fermer ma porte sur mon enfant, mon mari et le costume qui va avec, elle prend la place.

 Lèvres rouges, décolleté profond, regard aguicheur, elle drague sans retenue, provoque tranquillement, parle fort de désir et de sexe, elle est franche, elle marche la tête haute et rit à gorge déployée. Ma bad girl, elle domine l'assistance, elle vaut mieux que tout et elle se fout de tout, même si on la trouve trop vulgaire, elle assume. 

Et le soir, quand je la ramène à la maison et que je la couche, je garde ce sentiment de puissance, cette confiance et cette légèreté d'esprit. Quand elle est de sortie, je m'amuse et je booste mon ego 💪.

Ces clients témoignent de l'aide que leur a apporté une consultation avec un psy ou un coach sur Wengo ⭐

Clémence

★★★★★

"Je cherchais du sens dans ma vie et cette consultation m’a vraiment aidée à y voir plus clair. Une belle révélation !"

Hugo

★★★★★

"J’ai appris des choses sur moi que je n’avais jamais réalisées avant. Ça m'a boosté, merci !"

Nathalie

★★★★★

"Des prises de conscience qui changent tout grâce à Mme Bernard. Un accompagnement précieux pour mieux se comprendre et évoluer."

Vanessa

★★★★★

"J’ai rarement ressenti un tel bien-être après une consultation. Ça fait vraiment du bien !"

La "bad attitude" au bon moment

La seule et unique règle avec la bad girl, c'est qu'elle ne doit pas nuire à votre vie sociale et amicale. Elle doit vous apporter l'admiration et le respect des autres et de la confiance en vous. Elle ne doit rien détruire. L'idée, c'est qu'après avoir agi comme une bad girl, il faut qu'on se sente bien, libre et forte. Ces petits actes transgressifs montrent que nous ne sommes pas aussi lisses que nous pouvons le paraître et ainsi on évite d'accumuler de la frustration et du ressentiment envers les autres. Alors, à quels moments donner libre cours à notre bad girl ?

  • Pour ne plus se faire marcher sur les pieds :

... Au boulot quand un collègue s'approprie mon travail, par exemple, dans une file d'attente, quand on se fait passer devant, dans la vie, quand on zappe un moment à soi pour, encore une fois, écouter se plaindre notre copine/mère/amant, etc.

➡️ Ici, fini les excuses, fini de passer l'éponge, on sort la bad girl pour qu'elle nous aide à nous affirmer et on ne laisse pas passer ce qu'on trouve intolérable. On ose avoir de l'aplomb parce qu'on ne dit que la vérité et qu'on n’est pas caractérielle 24h/24.

  • Pour booster son ego et sa libido :

La bad girl en nous se fout de ce que pensent les autres et pense d'abord à elle. Elle s'amuse, elle est mal élevée, gonflée, mais elle maîtrise et elle ne passe pas inaperçue. Le résultat est sans appel : on se sent puissante, femme forte et on a pris son pied 🍑.

➡️ Ici, on arrête de se poser des questions sur ce qu'on porte et ce qu'on fait. On ne porte plus de mini-jupes après 30 ans, on met un soutien-gorge pour aller chez sa belle-famille, on ne fait pas de topless, on attend que ce gars trop mignon vienne nous accoster... STOP ! La bad girl fait ce qu'elle veut, comme elle le veut. Idem quand elle est au lit. La bad girl n'est absolument pas là pour booster l'ego d'un partenaire, mais pour prendre du plaisir. On ose alors réaliser quelques fantasmes, on dit à voix haute de quoi on a envie, on recherche son plaisir, on écoute son corps et on le suit ! Le sexe est le moment idéal pour faire taire la gentille fille que nous sommes 🤫. Si on veut parler cru, si on veut mettre des fessées, si on veut plus de mains ici et moins de bouches là, on le dit, on se lance, et on le fait 🫦. Entre bad girl et naughty girl il n'y a qu'un pas qu'il faut franchir au nom du plaisir.

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Attention, même la bad girl ne zappe pas le consentement !

Finalement la bad girl et ses bad attitudes nous permettent de nous découvrir et d'être plus en phase avec toutes les parties de nous-même. Il ne faut donc jamais hésiter à lui faire plus de place !

L'avis de la rédaction : lâchez les chiens !

Lâcher les chiens, ne plus se demander ce que vont penser les autres, vivre sans penser à rien, profiter, vibrer... que ça fait du bien de libérer sa nature animale ! Nous avons toutes une bad girl qui sommeille en nous et quand elle est de sortie, on l'adore ! Elle nous libère comme personne et nous fait prendre confiance en nous, vous pouvez même lui donner un petit nom : Debby, Karen, et vous, qui est votre double badass ? Dites-nous tout en commentaire, on adore vous lire ! Si vous avez du mal à vous lâcher, que vos expériences passées vous ont conditionné et que vous en souffrez, n'hésitez pas à prendre rendez-vous avec un coach afin de renouer avec votre nature profonde au fil des séances.

🤗 Se comprendre, s'accepter, être heureuse... C'est ici et maintenant ! 
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Article proposé par
Lauriane, Amorim

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