Hypersensible et passionnée de psychologie, Camille met sa plume au service de la compréhension de soi et des autres. Rencontre avec cette autrice de Wengood !
J’ai toujours adoré écrire. Dès les débuts d’Internet, dans les années 2000, j’avais plusieurs blogs où je me livrais sans filtre. J’y racontais mes joies, mes peines, mes réflexions… Écrire, c'était ma manière de donner du sens à mes émotions, de mettre de l’ordre dans mes pensées et d’apaiser mon esprit. 📖 Ce que je ne savais pas encore à l’époque, c’est que cette passion pour les mots et les émotions humaines allait devenir une véritable vocation.
Très tôt, j’ai compris à quel point il est essentiel de trouver un équilibre intérieur pour avancer sereinement dans la vie. Mon hypersensibilité, qui fut longtemps une source de doutes, s’est révélée être une force précieuse : elle m’a permis de développer une écoute profonde et une compréhension fine des émotions.
Depuis 5 ans, j’évolue chez Wengood, où je suis aujourd’hui rédactrice en chef et responsable de la gestion des réseaux sociaux. Mon parcours universitaire m’a d’abord menée à un Master 2 en Communication, une discipline qui m’a offert une vision globale des interactions humaines et m’a permis d’étudier la psychologie et la sociologie en profondeur.
Mais pour moi, les connaissances de mes études n'ont pas suffit : j’ai également poursuivi une formation complémentaire en développement personnel, afin d’intégrer des méthodologies concrètes pour accompagner celles et ceux qui cherchent à reprendre le contrôle de leur vie et à cultiver leur bien-être.
Mon expertise est de vous guider vers un équilibre personnel et un épanouissement profond. Tout au long de ma vie, j’ai compris que la clé du bonheur repose sur l’harmonie entre nos émotions, nos relations, notre mental et notre bien-être global. Je suis disponible par mail si vous avez des questions sur un sujet précis. Et si jamais je n’ai pas la réponse, je pourrai vous orienter vers l’une de mes collègues, Lauriane ou Marion.
Si vous ressentez le besoin de retrouver un alignement intérieur, de faire la paix avec vos émotions et de vous épanouir pleinement, alors bienvenue. Vous êtes au bon endroit sur Wengood 💛 !
Article proposé par
Camille Bennett
⭐ Mon rêve de bonheur : Me sentir libre dans ce que je fais.
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Il y a quelques jours, je suis allée boire un verre avec une amie. Comme à notre habitude, on a parlé de nos relations du moment. J'ai parlé de ce mec que je vois deux puis 2 / 3 mois, mais avec lequel ça n'évolue pas. En fait, en discutant avec elle, j'ai réalisé que j'étais en train de vivre mon pire cauchemar du dating : la "situationship". Si vous ne connaissez pas, je vous explique tout !
On a tous déjà vécu ce moment où, en pleine conversation, notre esprit décroche. On hoche la tête, on sourit, mais en réalité, on pense à autre chose... Je plaide coupable, ça m'arrive ! Bon en même temps, j'ai été diagnostiquée avec un TDAH, donc ça n'aide pas. Cependant, de plus en plus de gens sont concernés et ont du mal à être dans l'écoute. Un terme est apparu suite à ce constat, le Trouble de l'Attention à Autrui. Parlons-en !
Je stresse toujours en pensant au futur, que ce soit pour mon avenir professionnel ou juste pour l’organisation d’un repas familial. Mes proches me disent que j’angoisse pour un rien et ils ont raison ! C’est ce qui s'appelle souffrir d'anxiété d’anticipation. Elle fait partie de moi et je pense toujours au pire. Mais pourquoi je ne peux pas m’empêcher d’appréhender en permanence l’avenir, qu’il soit proche ou lointain ? Comment se défaire de l’anticipation anxieuse pour vivre plus sereinement ? Éléments de réponse de la part d’une angoissée de l’avenir qui essaie de se soigner.
“Faudrait que tu viennes, tu vas voir, comme ça, tu pourrais être présenté à tout le monde !”. Rien de pire que d’entendre cette phrase pour moi. Peu importe le contexte, pro ou perso, c’est quelque chose qui me fait fuir, car ça active mon anxiété sociale. Oui, être confronté aux autres, en particulier quand ils sont nombreux, ça me fait stresser. Vous vous sentez concerné aussi ? Alors parlons-en.
Éviter les grosses soirées, être mal à l’aise lorsqu’il y a plus de deux personnes dans une pièce, ne pas savoir quoi dire aux gens, préférer être seule… Autant de choses qui m’ont fait me dire que j’étais socialement inadaptée. Et je sais que c’est le lot de beaucoup de gens, sauf que c’est encore mal perçu de dire cela. Pourquoi peut-on se sentir si différente ? Y a-t-il des moyens d’être mieux adapté socialement ? Voici quelques pistes de réflexions…
Vous avez sûrement vu au moins une fois l'émission "C'est du propre !" diffusée sur M6 il y a 10 ans. On y voyait des appartements ou des maisons avec une accumulation d'objets en tout genre, au point que les personnes avaient du mal à y circuler, sans parler de la crasse et de l'insalubrité... En fait, cette émission mettait en avant des personnes atteintes du syndrome de Diogène. C'est une vraie pathologie, qui est difficile à soigner, surtout lorsqu'on méconnaît ce syndrome et qu'on n'en comprend pas les causes. Explication.
Très bon article sur la crise de la trentaine. Je la vit actuellement et remet bcp de choses en question. Des jours cela passent et d'autres ou cela revient comme si j'étais pas à ma place ou ?? Enfin drôle de sensation que je n'avais pas réellement vécu. Cela fait déjà quelques mois que cela dure. Mais je comprends ce que tu as vécu. J'ai eut 31 ans il y a peu de tps et tjr ses questions qui me taraude. Je suis pas d'une petite fille d'un an et demi et en couple depuis 5 an et demi. Enfin voilà. Encore merci pour ton article. Guillaume
Guillaume, il y a un an
Bonjour Guillaume, merci beaucoup pour votre commentaire, ravie de lire que l'article vous a plu :) ! À l'aube de mes 34 ans, je suis plus apaisée, en accord avec mes désirs et ma vision de la vie. Je vous souhaite de trouver aussi l'apaisement ou du moins la réponse à vos questionnements !
Camille Bennett