11 astuces pour combattre et vaincre sa peur du voyage, en route !

Mis à jour le par Marion Leroy

À trop écouter ma peur, je lui donne raison. Il est temps de faire mes valises, d’y ranger ma phobie du voyage pour l’expédier à l’autre bout du monde. Envolée, ma peur de l’avion. Finie l'inquiétude d’être loin de mes proches. Je ne me refuserai plus de quitter mon cocon grâce à ces 10 astuces. Découvrez comment en finir avec cette peur du voyage !

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Peur du voyage : 11 astuces pour en finir

Le premier pas est le plus difficile... Ensuite, tout va mieux !

femme peur avion

Si j'ai peur en avion… ?

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1. Je m’informe sur les véritables risques

Avant de me renseigner, je pensais que l’avion était le moyen de transport le plus dangereux qui soit. Et je me trompais sur toute la ligne… Bien que l’idée d’un crash soit terrifiante, l’avion est le moyen de transport le plus sûr au monde, les chiffres le prouvent. Selon les recherches, la probabilité d’avoir un accident est de  0.00001 %.

2. Je compare avec les dangers de la vie quotidienne

Savoir que seul 1 avion sur 11 000 000 connaît un accident m’ôte une bonne dose de stress. Pour ne pas nourrir de peur irrationnelle, je m’intéresse aux risques que j’encours chaque jour sans même le savoir. Je prends, traverse et retraverse la route tous les jours et je suis encore là pour en parler, alors que c’est bien plus dangereux. Je me suis renseignée et à titre d’exemple, j’ai plus de chance de mourir empoisonnée que dans un avion. De quoi relativiser.

3. J’occupe mon esprit et je me relaxe

Si les arguments rationnels ne parviennent pas à faire taire la peur, je passe au plan B : l’ancrage dans le présent. Je peux le faire à l’instant même où la panique m’envahit, ou quotidiennement pour un travail de fond. À travers des exercices de respiration, ou de méditation pleine conscience, je me détends et me ramène dans le présent. Des activités comme la lecture ou l’écoute de musique peuvent aussi aider mon esprit à s’occuper. 👉 Musique zen : la playlist qui va vous détendre !

Si j’angoisse tout court…

4. Je tente de comprendre ces peurs

Comprendre la source de ces blocages aurait dû être mon premier réflexe. C'est la première étape ! Même si mes inquiétudes semblent difficiles à justifier tant elles paraissent irrationnelles, je les couche sur papier ou j’en parle à quelqu’un. Un proche, un adepte du voyage, toute personne qui aura une oreille attentive. Pointer du doigt ce qui coince me fait réaliser à quel point mes peurs peuvent être insensées, ou pas. Si elles s’avèrent être réalistes, m’exprimer m’aide à trouver des solutions pour traiter le problème. 👋 La peur n'est qu'un besoin de sécurité non comblé !

5. Je me projette pour faire face à l’inconnu

Comment ça va se passer ? À quoi ressemble la vie loin de mon petit nid douillet ? C’est souvent l’inconnu et le fait de sortir de notre zone de confort qui créent l’anxiété. Pour la combattre, rien de mieux que de se projeter et de se familiariser avec l'endroit  tant redouté. Google Image et bon nombre de blogs sont là pour ça !  


"Un voyage de 1 000 kilomètres commence toujours par un pas."

Lao Tseu


6. Je prends confiance en moi

Personne ne naît baroudeur confirmé, et je n’ai pas moins de capacité pour y arriver que mon voisin. Le tout, c’est de croire en soi et de développer sa confiance. Si pour ça je dois discuter avec des voyageurs habitués, alors discutons ! Ils me diront qu’eux aussi improvisent, ne contrôlent pas tout mais que pour chaque imprévu il existe une solution. En plus, surmonter les obstacles me rendra à chaque fois plus fière.

7. J’anticipe mon budget

La peur de voyager peut aussi être provoquée par des questions d’argent. Et si je manquais de quelque chose sur place ? Et si une semaine de plaisir me condamnait à 1 mois de difficultés financières ? Si j’anticipe en mettant chaque mois de l’argent de côté, je serai plus à l’aise et me sentirai plus libre.

8. Je me prépare à toute éventualité

Si le voyage est une épreuve, j’entame une préparation digne de ce nom. Avant de partir je peux établir un planning de mes journées, une liste d’activités à faire ou de choses à ne pas oublier. Je peux aussi repérer les différents quartiers de la ville et bien sûr noter tout ce qui pourrait me stresser, pour mieux me renseigner. À moi les solutions !

9. Je ne pars pas trop loin pour commencer

Ma zone de confort, je vais l'agrandir par étapes plutôt que d'en sortir brutalement. Loin de moi l’idée de me brusquer puisque je déteste voyager, alors dans un premier temps je pars dans une ville ou un pays proche de chez moi, là où la sécurité et l’organisation sont garanties. Je m’aventurerai un peu plus loin et dans des destinations plus dépaysantes petit à petit, jusqu’à devenir une véritable aventurière!

10. Je décide de vivre pour moi

Si c’est par peur d’être loin de mes proches que je redoute le voyage, je dois me dire que mon univers ne va pas s’écrouler en deux semaines. À mon retour, tout sera exactement pareil ! Mes proches peuvent se passer de moi un temps. Ils seront même contents que je leur rapporte de beaux souvenirs. Si je me sens indispensable, il existe toujours des solutions pour se faire remplacer – si j’ai un proche que j’ai l’habitude d’aider par exemple. J’arrête de culpabiliser et je vis pour moi.

11. Je fais garder mon appartement

Dans mon entourage il y a bien une personne de confiance qui acceptera de monter la garde et venir nourrir Félix. Mon petit monde tournera bien pendant mon absence, de quoi m’aider à partir l’esprit tranquille. Désormais, plus rien ne me retient !

L’avis de la rédaction : voyagez selon vos conditions, mais voyagez

Selon le psychiatre Steven Levine « la peur du voyage n’est pas une affaire de vol retardé ou de bagage perdu. C’est une réaction mentale et physique du corps liée à une perte de contrôle et à l’inquiétude d’un événement négatif. » En restant chez nous, nous contrôlons la plupart des aspects de notre vie et savons comment gérer les imprévus. En voyage, c’est tout le contraire. La solution la plus simple consiste à se préparer en amont, se donner le temps d’arriver à chacune de nos destinations, faire des recherches sur l’endroit en question… Plus nous ressentons un sentiment de prévisibilité et de contrôle, plus l’anxiété diminuera. Si le manque de la maison vous préoccupe, apportez des photos, des objets familiers, réconfortants, ou tout autre repère. Puis, essayez de maintenir autant que possible votre routine quotidienne, l'heure à laquelle vous vous réveillez et vous endormez, mangez et faites de l'exercice. Éviter le voyage risque de produire l’effet inverse et de renforcer vos craintes. La seule façon de surmonter l’anxiété du voyage, c’est de voyager. Et si tout cela vous semble trop difficile, n'hésitez pas à prendre rendez-vous avec un psychologue afin d'avancer ensemble.

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*Source : santemagazine.fr

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Article proposé par
Marion Leroy

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