Le serpent qui se mord la queue
Alors quelle est la solution pour sortir de l’incompétence stratégique 😕 ? Malheureusement, il n’y en a pas vraiment. Alors que faire ? Je dirais qu’il faut montrer notre mécontentement, sans agressivité évidemment, mais en fixant fermement nos limites. Comme l’a dit Manon Garcia, “on ne naît pas soumise, on le devient”, dénonçons donc ce qui ne nous convient pas, que ce soit à l’échelle de notre couple ou de la société.
Actuellement, je ne suis plus en couple et j’avoue ressentir beaucoup moins de colère au quotidien, parce que j’ai moins de charge mentale sur les épaules. Je gère ce que je dois faire, mais pas une autre personne. Si je me remets en couple, je pense que je ne voudrais pas partager le quotidien et vivre avec mon conjoint, à moins qu’il me montre qu’il prenne largement sa part. Il est désormais hors de question de m’occuper d’une autre personne adulte ou de pousser cette même personne à ce qu’il se prenne en main.
Alors, si vous êtes une femme et que vous me lisez, faites-vous entendre. N’acceptez plus la passivité d’un homme. Observer les red flags de son incompétence stratégique (l’état de son appartement, ses vêtements, son hygiène, etc.). Quittez-le si vous voyez qu’il ne prend pas sa part. Il n’est plus question de supporter cela, imposez-vous pour être beaucoup plus libre et plus heureuse 💪.
L'avis de la rédaction - Notre santé mentale avant toutStress, frustration, colère... Si vous vous reconnaissez dans ces émotions au quotidien, écoutez-les. Votre mal-être est légitime et si rien ne change dans votre couple malgré la verbalisation de votre souffrance, n’hésitez pas à consulter un psychologue. Il faudra trouver une solution avec votre partenaire, soit voir si vous ne souffrez pas d’une dépendance affective qui vous retient dans la relation. Quoi qu’il en soit, vous méritez une relation saine qui ne met pas votre santé mentale en défaut.
🤗 Se comprendre, s'accepter, être heureuse... C'est ici et maintenant !
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Sources : "Le corps des femmes" de Camille Froidevaux-Metterie // "On ne naît pas soumise, on le devient" de Manon Garcia
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