4 conseils pour ne plus détester sa famille et passer à autre chose
Le premier point important, c’est d’admettre que l’on déteste sa famille. Si vous êtes en train de lire cet article, vous avez déjà fait un pas dans l’acceptation de vos sentiments. C’est bien, n’en ayez plus honte, on est entre nous, et passez à la suite.
1. On court vers l’autonomie personnelle
Selon la situation, la nature de l’autonomie à rechercher va différer. Il peut simplement s’agir de quitter une maison, de prendre ses propres décisions, de devenir financièrement indépendant, etc. En tout cas l’important, c'est de se détacher de relations familiales nuisibles. Ce n’est pas toujours simple et parfois ça demande un peu de temps, mais quand une relation nous fait du mal, il faut garder en tête que l’objectif, c'est de la fuir 🏃.
👋 Cet article peut vous aider : Peut-on véritablement couper les ponts avec sa famille ?
2. On se réconforte auprès des autres
Ici, il s’agit de l’importance de trouver un réseau de soutien en dehors de la famille. Toutes les personnes susceptibles de vous apporter un soutien émotionnel sont les bienvenus. Amis, conjoints, groupes de soutien, etc.

⚠️ Attention, quand on déteste sa famille on peut se retrouver en situation de fragilité et se rapprocher de personnes manipulatrices et toxiques. Toutes les personnes qui ne vous permettent pas d’aller mieux et vous accablent un peu plus doivent sortir de votre vie.
3. On pose des limites
Quand on ressent des émotions négatives, prendre de la distance et poser des limites est souvent essentiel et surtout bénéfique pour notre santé mentale. Si on se sent en capacité de le faire, on peut opter pour des limites émotionnelles en choisissant de ne plus se laisser atteindre par notre famille, en ne lui permettant plus d’entraver notre bien-être mental.
Si c’est possible, le mieux est encore d’opter pour des limites physiques 👋. On décide de s’éloigner, de les voir moins souvent, voir plus du tout pendant une période donnée ou non.
4. On consulte
Enfin pour gérer ce ressentiment et développer assez de confiance en soi pour ne plus dire “je déteste ma famille”, mais juste “je m’en fous”, un thérapeute est souvent d’une aide précieuse. Ensuite, vous pourrez au choix, vous détacher de ce que vous fait subir votre famille, exprimer clairement votre ressenti et ouvrir le dialogue avec eux ou choisir de ne plus les fréquenter.
Encore une fois, aucune famille n’est parfaite et toutes nous donnent de temps en temps des envies de meurtre 🔪, le problème c’est que ce sentiment de détestation ne doit pas perdurer et affecter votre santé mentale. C’est à ce moment qu’il faut agir pour soi avant toi.
L'avis de la rédaction : un premier pas vers l'acceptation et la libérationDétester sa famille, c'est OK et vous pouvez être fière de cette prise de conscience, c'est le premier pas vers l'acceptation et la libération. Si vous en arrivez à cette détestation, il y a des raisons, une histoire et un passif qui peut parfois être lourd à porter, c'est pourquoi il ne faut pas hésiter à prendre rendez-vous avec un psychologue afin d'en parler, d'évacuer et de mettre des mots dessus. 🤗 Se comprendre, s'accepter, être heureuse... C'est ici et maintenant ! #BornToBeMe Contacter un psychologue |
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