10 phrases culpabilisantes à ne plus jamais prononcer

Mis à jour le par Camille Bennett

On a tou·tes dit un jour une phrase culpabilisante, sans le vouloir (ou pas 🙈). Et on en a tou·tes entendu… Pour ma part, j’essaie de faire au maximum attention à ce que je dis, car je ne veux pas adopter un comportement passif-agressif avec mon entourage. C’est bien ça le problème : ces phrases sont culpabilisantes et ne servent à rien. Alors arrêtons de les dire, pour le bien de tout le monde !

10 phrases culpabilisantes à ne plus jamais prononcer

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1.“Tu ne devrais pas manger ça” 

“Ah tu te ressers ?”, “C'est pas bon pour c'que t'as”, etc.

L’alimentation est constamment scrutée, commentée, jugée, en particulier celle des femmes (bah oui, nos corps doivent plaire au mâle gaze 😅). Que la personne pèse 50 kg ou 120 kg, il y aura toujours quelqu’un pour donner son avis non sollicité. Mais ce n’est pas acceptable. On n’a pas à se mêler de ce que les autres mangent, et personne n’a à commenter nos choix alimentaires.

Peut-être que la personne en face souffre de troubles du comportement alimentaire comme la boulimie ou l’hyperphagie. Peut-être qu’iel a choisi de sortir des injonctions des régimes pour pratiquer l’alimentation intuitive. Dans tous les cas, ça ne nous regarde pas. 

Ces remarques sont intrusives, culpabilisantes, et potentiellement dangereuses. Alors, occupons-nous de notre propre assiette 🍽️.

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2. “Tu vas vraiment porter ça ?”

On a tou·tes le droit de porter ce qu’on veut : une tenue colorée, moulante, voilée, courte, ample, trouée, extravagante. Si une personne choisit une tenue, c’est qu’elle lui plaît, qu’elle s’y sent bien, et c’est tout ce qui compte. On n'a pas à donner notre avis, même si on est un proche de cette personne. Les jugements sur l’apparence sont une violence ordinaire, d'ailleurs, c'est souvent genré et cela participe à une culture du contrôle des corps 🥲.

Et le pire, ce sont les phrases du type : « Elle s’est fait violer ? En même temps, elle l’a cherché, vu comment elle était habillée. » 🚫 Non. Une tenue ne donne jamais le consentement. Ce genre de propos ne sont pas seulement culpabilisants : ils participent activement à la culture du viol. Il est urgent de les déconstruire et de les faire disparaître.

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3. “J’espère que tu comptes l’allaiter…”

Les remarques les plus culpabilisantes sont souvent celles qu’on entend lorsqu’on devient parent. Et encore plus quand on est une mère. Chaque choix est remis en question, comme si notre corps et nos décisions ne nous appartenaient plus.

Le choix d’allaiter ou non est personnel, intime, et ne regarde que la personne concernée. On n’a pas à donner notre avis, encore moins si on ne nous l’a pas demandé. Respecter les choix parentaux, c’est aussi respecter l’autonomie et la dignité de chacun·e 🤱.

Puis l'inverse est aussi vrai 😒 : "mais pourquoi tu vas l'allaiter ? T'as pas honte de l'allaiter en public ?"

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4. “Tu es triste ? Mais tu as tout pour être heureuse !”

Cette phrase est un exemple parfait de violence émotionnelle banalisée. Elle nie la souffrance, minimise les émotions, et renforce la culpabilité. On a le droit d’aller mal, même si tout semble « parfait » de l’extérieur. Ce n’est pas aux autres de décider si notre tristesse est légitime.

Et surtout, cette phrase invisibilise les troubles psychiques comme la dépression et le trouble anxieux. Elle est toxique, blessante, et inutile. On peut la remplacer par une vraie écoute :

👉 « Tu es triste ? Comment puis-je t’aider ? »

Ces clients témoignent de l'aide que leur a apporté une consultation avec un coach sur Wengo ⭐

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"Je cherchais du sens dans ma vie et cette consultation m’a vraiment aidée à y voir plus clair. Une belle révélation !"

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5. “Et sinon c’est quoi ton vrai métier ?”

Cette phrase, beaucoup de personnes indépendantes, artistes, créateur·ices de contenu, intermittent·es, l’ont entendue. Comme si leur travail n’était pas « sérieux », pas « réel ». Pourtant, ce sont de vrais métiers, avec de vraies compétences, de la rigueur, de la passion, et souvent beaucoup de précarité.

Ce n’est pas parce qu’on aime ce qu’on fait, qu’on ne souffre pas au travail, ou qu’on sort des cases classiques, que notre métier est moins légitime. Le travail ne devrait pas être défini par la souffrance ou la conformité 🙄.

6. “Pourquoi tu n'es pas comme ta sœur/ton amie/ta mère…”

Faire ce genre de réflexion n’est jamais une bonne idée. D’ailleurs, il faut à tout prix éviter de comparer ses enfants ! Les comparaisons sont toujours destructrices, elles créent des insécurités, des failles émotionnelles, et une pression inutile.

Chaque personne est unique, avance à son rythme, avec ses forces et ses difficultés. On fait tou·tes de notre mieux. Comparer, c’est nier cette réalité. Alors, on arrête ⛔.

7. “Laisse-le pleurer, il fait une comédie”

Non. Un bébé de trois mois ne fait pas de comédie. C’est scientifiquement prouvé : laisser pleurer un nourrisson peut avoir des conséquences graves sur son développement émotionnel. C’est son seul moyen de communication 😥.

Et puis, c’est notre enfant. C’est à nous, parent·es, de décider comment nous voulons l’accompagner, en accord avec les professionnel·les de santé. Ces remarques sont intrusives, culpabilisantes, et souvent basées sur des croyances dépassées. On peut s’en passer.

8. “Ça fait combien de temps que t’as pas fait...”

… du sport, le ménage, la vaisselle, etc. Ces remarques sont rarement innocentes. Elles sous-entendent un jugement, une désapprobation, une attente non dite.

Chacun·e a son rythme, ses priorités, ses contraintes. Et surtout, on n’a pas à se justifier. Ce genre de phrases ne motive pas, elles culpabilisent. Alors on les garde pour soi ✋.

👋 Cet article peut vous intéresser : La culpabilité, une émotion utile, que nous enseigne-t-elle ?

9. “Ma voisine a quatre enfants et je peux te dire que ça marche droit !”

Traduction 💬 : "toi tu n’en as qu’un et tu n’es pas fichue de le cadrer". Encore une fois, une belle remarque culpabilisante et inutile.

Chaque enfant est différent. Chaque famille a ses propres défis. Et parfois, il y a des troubles du comportement, des neuroatypies, des sensibilités particulières. Ce n’est pas une question d’autorité ou de comparaison. C’est une question d’écoute, de respect, et d’adaptation.

10. “Moi je ferais comme ça, mais tu fais comme tu veux...”

Cette phrase est le sommet du passif-agressif. Elle dit : « Je sais mieux que toi, mais je vais faire semblant de te laisser libre ». Sauf que non, on n’a pas besoin de conseils non sollicités. On peut faire différemment, et que ce soit tout aussi bien. Avant de donner un avis, on peut simplement demander :

👉 « Tu veux un conseil ou de l'aide ? ». Sinon, on se retient. Le respect commence par là 😶.

L'avis de la rédaction : Comment réagir ?

Il est parfois difficile d’avoir de la répartie sur le moment. C’est pour cela qu’il faut noter les phrases passives agressives qui reviennent souvent pour constituer une réponse cinglante. Surtout, il faut apprendre à repérer celles ou ceux qui nous les disent. Eh oui, on a toutes des personnes toxiques dans son entourage. Mieux vaut s’en éloigner le plus possible ou se préparer psychologiquement à les affronter (comme dans le cas d’une belle famille). Puis si jamais vous avez besoin d'un coup de pouce ou de parler d'une situation particulière, vous pouvez en parler à l'un ou l'une de nos coach !

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