L’échelle de l’estime de soi de Rosenberg : et toi, c'est quoi ton score ?

Mis à jour le par Marion Leroy

« Votre estime de soi est dans la moyenne » : chouette ! Je crois ? Je me suis prêtée au jeu du test de Rosenberg et voilà mon résultat. Je crois que je suis plutôt d’accord avec ça ! Si vous êtes curieuse de mesurer la vôtre également, vous trouverez le test dans cet article mais aussi quelques précisions sur cette fameuse notion d’estime de soi.

L’échelle de l’estime de soi de Rosenberg : et toi, c'est quoi ton score ?

Et sans transition... Le test !

Afin de réaliser le test dans les meilleures conditions possibles, je vous propose de le faire dès maintenant sans avoir connaissance du mode de calcul et en étant la plus sincère possible. C’est très simple : il s’agit de noter chacune des 10 affirmations suivantes de 1 à 4.

👉 1 : vous êtes tout à fait en désaccord

👉 2 : vous êtes plutôt en désaccord

👉 3 : vous êtes plutôt en accord

👉 4 : vous êtes tout à fait en accord

À vous de jouer :

  • 1. Je pense que je suis une personne de valeur, au moins égale à n'importe qui d'autre
  • 2. Je pense que je possède un certain nombre de belles qualités
  • 3. Tout bien considéré, je suis portée à me considérer comme une ratée
  • 4. Je suis capable de faire les choses aussi bien que la majorité des gens
  • 5. Je sens peu de raisons d'être fière de moi
  • 6. J'ai une attitude positive vis-à-vis de moi-même
  • 7. Dans l'ensemble, je suis satisfaite de moi
  • 8. J'aimerais avoir plus de respect pour moi-même
  • 9. Parfois je me sens vraiment inutile
  • 10. Il m'arrive de penser que je suis une bonne à rien

Pour découvrir comment calculer votre résultat sur l’échelle de l’estime de soi de Rosenberg, rendez-vous à la fin de cet article 👇 ! Mais avant, tâchons d’en savoir un peu plus…

21 jours pour s’accepter, téléchargez votre journal de bord et exercices

Besoin de clarté et de guidance ✨ ?

Ecrivez à nos coachs spirituels, tarologues et astrologues pour éclairer votre chemin 🔮! Laissez-vous inspirer et trouvez les réponses dont vous avez besoin dès aujourd’hui ! 🌙

Pauline Mussey

Pauline Mussey

Guide Spirituel tarologue
⭐100% avis positifs

Me contacter
Olivier Saunier

Olivier Saunier

Tarologue
⭐ 100% d'avis positifs

Me contacter
Ema Fontayne

Ema Fontayne

Astrologue
⭐100% d'avis positifs

Me contacter

C’est quoi, l’échelle de l’estime de soi de Rosenberg ?

L’échelle de l’estime de soi de Rosenberg (Rosenberg’s Self-Esteem scale) a été proposée en 1965 par Morris Rosenberg, un sociologue américain. Puis en 1990, cette auto-évaluation assez courte mais jugée fiable a été traduite et validée dans le domaine des sciences sociales canadiennes-françaises par Évelyne F. Vallières et Robert J. Vallerand. C’est celle que vous avez juste au-dessus. Si l’échelle de Rosenberg était d’abord destinée à ses recherches concernant les adolescents, elle s’avère finalement être utilisable pour tout le monde. Elle est d’ailleurs encore un instrument de mesure directe très utilisé en psychologie.

Et l’estime de soi ?

C’est le regard que l’on porte sur soi-même, c’est l’évaluation permanente que l’on fait de soi et qui se construit dès l’enfance, dans nos relations avec les autres. L’estime de soi n’est pas innée mais bien acquise, et c’est un processus qui dure toute la vie. Notre estime de nous-même peut varier en fonction des personnes que nous rencontrons, des milieux dans lesquels nous évoluons, de nos expériences, etc. Par exemple, un entourage aimant et bienveillant participera davantage à nous renvoyer une image positive de nous-même et il sera ainsi plus simple de se respecter et de croire en sa propre valeur ✨. Cette estime de soi est donc forgée par notre vécu mais aussi par l’image de nous-même que nous renvoient les autres.

Comment ça se traduit ?

Avoir une basse estime de soi signifie minimiser ses qualités et avoir tendance à s’identifier à ses échecs. À l’inverse, une bonne estime de soi ne veut pas dire être orgueilleuse, mais simplement comprendre que l’on est l’égale des autres, ni plus ni moins. Pour la développer, on peut par exemple s’exercer à se féliciter de ses réussites (petites et grandes), accueillir pleinement les compliments, être bienveillante avec soi-même et s’entourer de personnes qui le sont tout autant.

De nombreux facteurs peuvent expliquer une basse estime de soi ! Une piste parmi d’autres est celle de la comparaison. Si cela a toujours existé, les réseaux sociaux nous offrent aujourd’hui sur un plateau des tonnes de possibilités de se comparer. Dans cet article de The Conversation, l’autrice explique : « Des recherches montrent que plus les gens passent du temps sur Facebook et Instagram et plus ils se comparent socialement. Cette comparaison sociale est liée, entre autres, à une plus faible estime de soi et à davantage d’anxiété sociale. » Bien sûr il s’agit d’une piste parmi d’autres, mais si vous pensez qu’elle peut vous correspondre, n’hésitez pas à la suivre et à initier un changement de comportement sur les réseaux pour lui faire la peau, à cette satanée faible estime 💪 !

➡️ Ça va vous intéresser : Je déteste les compliments, pourquoi me font-ils me sentir aussi mal ?

Marion Leroy

Marion Leroy, coach, est là pour vous !

Vous avez besoin de discuter ? D'être aidé·e, conseillé·e, compris·e ? Écrivez un mail à notre coach, Marion !

  • ✨ Réponse sous 24h en semaine
  • 🚀 Disponible pour les urgences
  • 💫 5 euros seulement
Contacter Marion

Nos conseils bien-être sans prise de tête, directement dans ta boîte mail ! 💌

Réponse du test

  • Additionner les scores attribués aux questions 1, 2, 4, 6 et 7.
  • Pour les questions 3, 5, 8, 9 et 10, le calcul est inversé : compter 1 si vous avez choisi 4, compter 4 si vous avez choisi 1 ; compter 2 si vous avez choisi 3 et 3, si vous avez choisi 2. Additionner les chiffres obtenus.
  • En faisant le total, on obtient un score entre 10 et 40 dont voici les interprétations :

👉 Score inférieur à 25 : votre estime de soi est très faible. Un travail dans ce domaine semble souhaitable.

👉 Score entre 25 et 31 : votre estime de soi est faible. Un travail dans ce domaine serait bénéfique.

👉 Score entre 31 et 34 : votre estime de soi est dans la moyenne.

👉 Score compris entre 34 et 39 : votre estime de soi est forte.

👉 Score supérieur à 39 : votre estime de soi est très forte et vous avez tendance à être fortement affirmée.

L'avis de la rédaction : l'estime de soi, ça se travaille

Faire ce test n’est pas une fin en soi mais peut aider à savoir où l’on se situe par rapport au respect de soi, à l’image que l’on a de nous-même. Et si notre score est bas et que ça nous empoisonne un peu la vie, la bonne nouvelle est qu’il est toujours possible d’améliorer son estime de soi. Faites-vous confiance ainsi qu’aux personnes qui vous veulent du bien ! Les psychologues pourront vous aider à prendre le recul parfois nécessaire pour y voir plus clair.

🤗 Se comprendre, s'accepter, être heureuse... C'est ici et maintenant ! 
#BornToBeMe

Contacter un psychologue

Et découvrez aussi :

Article proposé par
Marion Leroy

Plus d'articles sur la confiance en soi

Je n'ose pas dire ce que je pense, et si on se libérait ?

Je suis plutôt colérique. Cette colère vient souvent du fait que je me retiens, je rumine, je pense et je ne dis rien. Je regarde les autres avoir réponse à tout et moi je me tais. Je n'arrive pas à dire ce que je pense. Peur qu'on me tourne le dos, de ne pas être à la hauteur, de choquer, je garde tout en moi, jusqu'à ce que ça explose... sur le premier qui passe par là et qui n'avait rien demandé. Il faut que ça change !

Mes conseils pour apprendre à s'aimer : bye, bye auto-dénigrement !

"Je suis nul·le", "Je suis moche", "Je ne sais rien faire", "je ne sers à rien"... Aïe, aïe, aïe, nous sommes parfois si violents avec nous-même en paroles et pensées, c'est difficile de cultiver une bonne estime de soi. Et pourtant, c'est la clé de notre épanouissement et de notre équilibre. Bien dans sa peau et bien dans sa tête, en apprenant à s'aimer, on gagne tout ça. Allez, on commence !

Arrêtez de dire “si tu ne t’aimes pas, alors personne ne t’aimera” !

On dit souvent que pour donner son amour à quelqu’un d’autre et être aimé en retour, il faut à tout prix avoir acquit l’amour de soi. Sauf que c’est une bêtise et c’est très culpabilisant d’entendre ça. Pourquoi est-ce que cette simple phrase, en apparence anodine, est à sortir de notre langage ? Je vais vous expliquer.

Qu'est-ce que le syndrome de l'imposteur ? On vous dit tout !

J'ai toujours eu plein de projets en tête, mais j'ai toujours eu peur de me lancer. Quand on me fait un compliment, je dis merci, mais je n'y crois pas vraiment. Bref, il y a tout un tas de situation où je ne me sens absolument pas légitime. Si vous vous reconnaissez dans mes mots, peut-être souffrez-vous du syndrome de l'imposteur. Mais qu'est-ce que c'est ? Comment savoir si ça nous concerne ? Avoir connaissance du problème, c'est en partie le régler, alors je vous explique tout !

Comment cacher une grosse poitrine : et puis quoi encore ?!

À la roulette du corps, je n’ai pas eu la grosse poitrine, mais les grosses fesses et le gros ventre. J’ai longtemps voulu avoir un peu plus de sein, sachant que tout le reste était déjà imposant. Alors quand je vois que la plupart des femmes qui ont une grosse poitrine veulent juste la cacher, je ne comprends pas. Enfin si, j’ai quelques idées sur le pourquoi de cet acte. Cependant, je pense qu’on ne devrait pas avoir à le faire et je vais aussi vous expliquer pourquoi. C’est parti !

Le complimerde, ces saloperies déguisées qui font du mal !

“Elle te va bien cette robe, pour une fois que tu en mets une qui ne te grossit pas.” Et bim, mamie est en forme ! C’est ce qu’on pourrait appeler un “complimerde”, ça part d’une remarque sympa et ça finit en phrase méchante (ou déplacée). Qui n’a jamais entendu ce genre de saloperie ? Personnellement, j’en ai souvent entendu vis-à-vis de mon poids. Des petits “tu as un beau visage” qui sous-entendent qu’il n'y a bien que ça de beau chez moi, au moins il rattrape le reste… Oui, c'est bien de ce genre de compliments foireux dont on parle !

Toutes les vulves sont belles

Au cours de notre vie, on peut très bien ne jamais se poser de question sur notre vulve et puis un jour on la regarde ou on la montre et ce qu'on voit ou donne à voir étonne, pose question ou pire encore. Résultat, notre vulve nous complexe, on est gênée à l'idée de la montrer et on pense même à la chirurgie esthétique. Et si à la honte ou au bistouri, on préférait l'amour ? Il existe différents types de vulves, elles sont toutes belles, il faut juste le savoir et apprendre à aimer la sienne.

“Je m’aime et ça fait du bien”… Parfois oui, parfois non !

Cette phrase, il m’arrive de la prononcer. Il y a des jours où je me sens bien et/ou belle, alors quand je me regarde dans le miroir je me dis “Je m’aime” et ça fait du bien. Pourtant, je manque cruellement de confiance en moi. Il y a des tas de choses qui font que ce sont les montagnes russes pour m’aimer, aujourd’hui j’ai décidé de vous parler de tout cela dans cet article très intime. Quand l’amour de soi est un long chemin…

“Jamais assez bien” : allez hop, on en finit avec ce sentiment !

Pendant longtemps, une pensée m’envahissait constamment : je ne suis pas assez. Dans le sens où je n’étais pas assez bien pour tel mec ou tel job. Parfois même, j'avais justement un gros sentiment d’insatisfaction, ce que je faisais n’était juste pas assez bien. Bref, je me dépréciais et je ne pouvais pas être heureuse en ressentant ça. Aujourd’hui, je me suis libérée de ce sentiment et comme j’ai à cœur d’aider les autres, je vous en parle.

Marion Thihy, coach, nous donne ses conseils sur l'amour de soi

Quand on pense à l'amour, on pense toujours à l'autre et au couple. La preuve avec la Saint-Valentin ! Cependant, j'ai envie que tout le monde apprenne à penser autrement. Amour et soi peuvent être compatibles et je pense même que c'est mieux de l'envisager ainsi ! Néanmoins, il n'est pas simple d'apprendre à s'aimer, surtout quand on a toujours eu l'habitude de se déprécier. Voici donc mes conseils pour faire de soi, sa propre priorité !

Les podcasts Wengood

Les 5 blessures de l'enfance : le rejet par Jean Doridot Docteur en psychologie

12 février · Wengood

18:06