Les 4 peurs qui nous empêchent de vivre par Eudes Séméria, psychologue

Mis à jour le par Emilie Potenciano

La peur que quelque chose de mauvais arrive dans le futur est l’une des choses qui nous rend humain. Les animaux peuvent craindre un danger immédiat, qui leur arrive à l’instant, mais nous sommes les seuls à avoir peur de ce qui “ pourrait ” arriver… Des angoisses qui empoisonnent notre quotidien et nous empêchent de vivre sereinement. Eudes Séméria, psychologue clinicien et auteur du livre “les 4 peurs qui nous empêchent d’avancer” répond à toutes nos questions sur le sujet.

Les 4 peurs qui nous empêchent de vivre par Eudes Séméria, psychologue

Peurs, phobies ? Quelle différence ?

Des peurs, il peut y en avoir des centaines : la peur du vide, du noir, de l’avion, la peur de téléphoner… J’ai voulu les classer. La question des peurs en psychologie n'a pas vraiment été poussée. On a dit qu’il y avait des peurs et des phobies. Alors c’est quoi la différence ? La peur, c’est naturel, c’est inné. Les phobies se marquent par des obsessions et de l’évitement (👋Stratégie d'évitement, une bombe à retardement).

👉 Par exemple, si j’ai la phobie des pigeons, je vais faire des détours pour les éviter, voire aller habiter dans un endroit où il n’y a pas de pigeon… Ce n’est pas vraiment rationnel comme peur, car personne ne s’est jamais fait manger par un pigeon. Mais on aura ce type de comportement et on aura un retentissement très fort sur le mode de vie. 👉 Top 10 des phobies les plus insolites, à chacun sa peur !

Mais quand on y regarde de plus près, la différence entre les peurs “ordinaires” et les phobies n’est pas si nette que cela. Par exemple, prenons les gens qui ont peur du noir : phobie ou non ? 🤔 Car vous aurez des comportements d’évitement, vous aurez de l'obsession et un retentissement sur votre mode de vie : vous allez laisser la télévision allumée toute la nuit, vous allez laisser les volets ouverts, vous coucher le plus tard possible, éventuellement vous allez prendre des somnifères pour ne pas avoir à faire l’effort d’aller de vous-même dans votre lit, ou vous dormirez sur votre canapé devant la télévision…

J’ai décidé de classer toutes ces peurs-là en 4 grandes catégories qui sont :

  • la peur de grandir ;
  • la peur de s’affirmer ;
  • la peur d’agir ;
  • la peur de se séparer.

Les 4 grandes catégories de peur

On est tous un peu concernés par ces peurs. Prenons le cas de la peur de manquerOn va se poser la question : est-ce que je gagne suffisamment ? Est-ce que j’ai assez pour ne pas me retrouver à la rue ? On va remplir le frigo par peur de manquer, remplir les placards, la cave, faire des stocks… Cela concerne environ 90% de la population.

Et puis cela va poser des problèmes dans la vie de tous les jours parce que la peur de manquer peut conduire à l’obésité bien sûr, ou des choix professionnels pas rationnels c'est-à-dire qui vous font du mal. Par exemple : travailler trop y compris si vous avez la possibilité de travailler moins. Tout cela produit un enchaînement de conséquences : vous êtes fatigué, vous ne voyez plus votre famille… Les défenses que vous allez trouver comme faire des stocks ou travailler trop vont finalement se retourner contre vous 😬.

1- La peur de grandir : 

C’est la plus importante. En réalité, tout part de là. Le conflit que l’on peut avoir entre l’enfant que l’on est plus vraiment mais dont il reste des traces importantes, et l’adulte que l’on tend à devenir. L’enfant dont je parle n’est pas le petit enfant que l’on a été personnellement dans le passé, c’est la source de vie qui jaillit, l’élan de vie, brut, pulsionnel, chaotique, ça part dans tous les sens, c’est l’étonnement. D’ailleurs si on prend l’étonnement philosophique, au départ de la philosophie grecque en tout cas, c’est l’étonnement. Exemple : pourquoi y a-t-il des étoiles ? La philosophie a commencé comme cela. Cette envie, ce jaillissement vient s’ancrer dans quelque chose que l’on appelle l’enfance. Mais tout cela est pulsionnel et chaotique donc pour en faire quelque chose, il faut le limiter.

C’est pour cela que je définis l’adulte, comme celui qui pose les limites et qui les respecte. Contrairement à ce que l’on croit ce n’est pas quelque chose qui va nous enfermer, mais au contraire quelque chose qui va nous libérer. Parce que cela nous permet de faire quelque chose de tout ce jaillissement qui sinon partirait dans tous les sens. Être adulte, c’est orienter ce qui jaillit en moi.

La peur de grandir, pour la définir, c'est la peur de quitter son statut d’enfant de ses parents. La solution, c’est changer de place, accepter de changer de place vis-à-vis de ses parents et cela commence à l’adolescence. Quand on commence à avoir des formes, à grandir, quand on commence à ne plus être le petit bébé que l’on a été. À ce moment-là, il y a des questions qui se posent, parce que peut-être que l’on a le sentiment de trahir ses parents. Et c’est vrai. Les parents voulaient un bébé et non un ado qui claque les portes. Donc déjà, vous commencez à les trahir mais dans un sens nécessaire ! Vous commencez à dire : “ ça n'est plus votre loi qui est la mienne, je m’émancipe, je vais décider moi-même de ce que je veux faire de ma vie  ”.

Les parents devraient accepter cette trahison et l’accepter pour libérer l’enfant qui devient adulte et ainsi lui permettre de ne pas avoir de peurs. Si vous ne vous libérez pas de cette position d’enfant de vos parents, alors vous continuerez toute votre vie à avoir des peurs d’enfant.

Pour revenir à notre pigeon de tout à l’heure : qu’est ce qui peut expliquer la phobie du pigeon ? Si vous avez 3 ans, un pigeon c’est énorme ! C’est gros comme un veau pour un adulte ! C’est ce qui se joue dans la phobie de l’adulte. Il voit le pigeon d’en bas, de sa position d’enfant.

C’est pour cela qu’il est très important de grimper à la hauteur de ses parents pour se libérer du statut d’enfant que l’on a eu pendant une vingtaine d’années. Car ce sont vos parents qui vous ont construit comme “ enfant ”, comme leur enfant. Pour arriver à se défaire de ce statut, il faut que vous arriviez à vous vivre comme un adulte face à des adultes. Pas face à des parents.

Vos parents, vous les connaissez par cœur mais qui sont-ils en réalité en dehors d’être des parents ? Qu’est-ce qu’ils ont sur le cœur ? Qu’est-ce qu’ils ont vécu ? Des choses qu’ils ne pouvaient pas vous dire quand vous aviez 5 ou 10 ans mais qu’ils peuvent peut-être vous dire à 20 ou 25 ans. C’est très important de connaître l’histoire, leur histoire peut-être celles de leurs parents. Pourquoi ont-ils choisi telle éducation ? On peut poser ces questions.

👋 Apprendre à décevoir ses parents et s'en libérer

2- La peur de s’affirmer.

C’est dans le prolongement de la peur de grandir. Mais que veut dire s’affirmer ? Cela veut dire “ quelle est ma place dans ce monde ? Quel est mon rôle ? ”

Par exemple : il y a des gens qui sont journalistes mais qui préféreront dire “ je fais du journalisme . ” C’est une manière de rester à distance. Un peu comme si l’on était stagiaire toute sa vie. Pour s’affirmer, il faut changer de place par rapport à ses parents. Changer de place c’est changer de relation.

Cette peur entraîne des peurs de demander un renseignement dans la rue, peur de téléphoner pour prendre rendez-vous, peur de parler en public ou même en face-à-face avec une mise en retrait. C’est une minimisation de ce que l’on est. On ne parlera pas de soi, on sera à l’écoute pour éviter de parler de soi.

3- La peur d’agir.

Cela se manifeste par la procrastination. La procrastination c’est l’incapacité à se projeter dans le temps. Si vous n’êtes pas capable de vous projeter à 1 mois, vous ne pouvez pas voir l’effet de ce que vous faites. Car pour vous cela n’existe pas “ dans un mois ”. Un autre aspect de la procrastination c’est de ne pas avancer dans la vie. Faire des efforts pour rester dans cette position d’enfant, c’est aussi une manière de nier les angoisses de la vie :  “ La vie c’est très dangereux, si on entre dans la vie on va mourir ”.

Or, la mort est un enjeu existentiel, cela fait partie de la condition humaine. On ne peut pas vivre autrement qu’en sachant que l’on va mourir. Mais les gens qui veulent rester dans la position enfantine, ça leur permet d’oublier cela. La position enfantine tourne en rond, il n’y a pas cette grande ligne droite qui va jusqu’à la mort. Le problème c’est que cela finit par se retourner contre vous comme toutes les défenses rigides et cela va entraver la vie professionnelle, sentimentale, familiale car vous ne faites pas les choses, ou ne les terminez pas.

L’autre aspect de la peur d’agir, c’est la rumination. Là, c’est la pensée qui tourne en rond, plutôt négative, on est dans la plainte parce que l’on est toujours dans la pensée à l’envers. Il faut trouver des problèmes qui enchaînent avec des problèmes, et après un certain nombre de problèmes on revient au point de départ 🤯. Ce que tous les gens qui ruminent connaissent parfaitement. Vous tournez en rond car au bout de chaque problème on trouve un autre problème au lieu de trouver une solution, ce qui serait la pensée à l’endroit. Cela est lié à votre position donc il faut à un moment donné trouver une issue pour casser ça. Il y a tout un travail à faire pour ça.

4- La peur de se séparer.

En réalité, il s'agit de la peur de faire confiance au lien à autrui. Que l’on soit fusionnel ou héroïque en réalité ce sont deux aspects enfantins.

  • Fusionnel : c’est l’enfant qui va se cacher dans les jupes de sa mère, qui reste dans les coulisses ”.
  • L’héroïque : c’est l’enfant qui passe qui casse tout, qui n’a besoin de personne, qui pense qu’il peut s’envoler de la fenêtre. Il se croit au-dessus du commun des mortels. Le héros survit à tout. Même quand il meurt.

La peur de se séparer, c’est donc la peur de faire confiance au lien, c'est-à-dire que si je pense que ces liens ne sont pas assez solides, alors je n’oserai pas dire non, je n’oserai pas dire ce que je veux pour moi. On a peur de se positionner et de négocier. Ce sera donc la dépendance affective ou une forme de dépendance affective qui se cache sous une forme d’indépendance totale.

On est formé par toute notre enfance, notre éducation. Tout est contextuel. Quand on arrive, il y a une place à prendre ou qui sera assignée. Bon an mal an, vous prendrez votre place et vous prendrez la forme de cette place. S’il y a des injonctions familiales qui sont “ ne jamais se décoller “ eh bien vous ferez avec. Ou contre d’ailleurs car il y a des gens qui ne veulent pas de cette place-là ! Donc cela pourra être le frère qui partira à l’étranger par exemple parce qu’il aura compris implicitement qu’il doit s’éloigner de ses parents.

Quelles sont les bonnes questions à se poser ?

Il faut se poser des questions à partir du moment où vous repérez une souffrance. Cela peut prendre différentes formes : angoisse, dépression, une pente dépressive, voire une incapacité à faire évoluer sa vie professionnelle ou sentimentale. “ je ne rencontre jamais la bonne personne ”

À partir du moment où il y a cette souffrance, il y a lieu de se questionner sur sa position, sa place dans ce monde. Est-ce que c’est la bonne ou pas ? Et s’il y a de la souffrance, c’est que ce n’est pas la bonne 🙁. Et si en plus il y a des infantilismes que l’on peut repérer, alors ce n’est pas la bonne non plus.

Alors qu’est-ce que c’est qu’une “ bonne ” place ? C’est l’entrecroisement entre :

  • toutes les relations que vous avez avec les autres en général, en particulier vos parents ;
  • mais aussi avec le monde c'est-à-dire la relation avec la nourriture, le sommeil, les vêtements, la déco… ;
  • et le rapport à vous-même, c’est-à-dire quand vous vous regardez dans un miroir ou pas, comment vous vous jugez vous-même ? Quel est votre estime de vous-même, votre confiance en vous… ?

Au milieu de cet entrecroisement, il y a vous, il y a votre place. Donc pour changer cette place, il faut changer les relations, c’est la logique même !

Changer les relations :

  • à ses parents : si vous êtes en position d’enfant ;
  • au monde : si vous estimez par exemple que vous n’avez pas investi votre logement ;
  • à vous-même : c’est-à-dire à quel moment vous vous traitez avec des égards ou au contraire à quel moment vous avez tendance à vous mépriser.

C’est là-dessus que l’on travaille.

Peut-on avancer avec nos peurs ? Comment apprendre à les surmonter ?

La thérapie mais aussi des petits exercices à mettre en place au quotidien 💪. C’est d’ailleurs ce que j’ai répertorié dans mon livre. Par exemple, avec la narration. Comment je me raconte ma vie ? Il y a beaucoup de gens qui n’ont aucun souvenir de leur adolescence… Alors l’enfance, n’en parlons pas. Peu de souvenirs jusqu’à 20 ans. On ne peut pas avoir une vision juste de soi si on ne connaît pas son histoire. C’est donc déjà un premier travail de refaire cette narration, ne serait-ce que pour s’apercevoir qu’il y a eu des choses bien ! Notamment quand on pense qu'il n'y a eu que des choses négatives.

Il faut les dater, les situer, et ce n’est pas anodin de devoir les situer dans son parcours. Parfois cela peut créer physiquement un petit malaise car on va toucher la défense, c'est-à-dire :  aller toucher à “ je ne dois pas me souvenir ” (car je ne veux pas être responsable de ce qui m’est arrivé). Donc à partir du moment où on va toucher cette défense, cela va produire des somatisations. Rien de grave et c’est passager ! Généralement il s’agit de vertiges, mal de tête, de dos… Il s’agit de résistances un peu somatiques. Il faut la dépasser, même si parfois cela peut prendre du temps de pouvoir raconter son histoire.

Une ligne par année, pour avoir un découpage, des périodes auxquelles on peut donner des titres. Cela peut être difficile au début mais ensuite vous vous rendez compte que vous avez gagné toute une dimension supplémentaire. Toute une partie de votre histoire que vous ignoriez. Parfois il faut un peu enquêter. Allez voir dans les albums photos, questionner les parents… Mais vous récupérez ce qui vous appartient et vous reconnectez avec une part importante de vous.

Parce que ces peurs vous font perdre contact avec soit votre corps ou des parties de vous.

L’autre enjeu, c’est ensuite la question du sens de ma vie.

Quel est le sens de ma vie ? Qu’est-ce que je fais ici ? D’où je viens ? Où je vais ? J’en sais rien. Et entre les deux, qu’est-ce que je peux faire ? Je n’en sais rien non plus. Devenir adulte, c’est le travail de toute une vie. Un travail sérieux au sens riche et joyeux du terme. C'est-à-dire :  qu’y a-t-il de plus important que de se poser ces questions sur soi, sur la vie, la mort, le sens. C’est passionnant ! On peut se divertir, aller en vacances, au cinéma manger des glaces, aller à la piscine, mais à un moment donné si vous ne vous posez pas ces questions, cette vie-là n’a plus d’intérêt !

Questionnez-vous et proposez quelque chose. En ce sens c’est merveilleux comme travail ! Devenir adulte c’est le sens de la vie.

Retrouvez notre échange en vidéo 

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L'avis de la rédaction : des peurs qui se travaillent

Un immense merci à Eudes Séméria pour cet échange passionnant, si ce sujet vous intéresse, nous vous recommandons vivement la lecture de son livre, les Quatre peurs qui nous empêchent de vivre aux éditions Albin Michel. Ces peurs nuisent à notre développement, notre bien-être, nos relations et bien d'autres choses encore comme l'explique Eudes Séméria. Vous trouverez tout un tas d'exercices pratiques dans son livre pour travailler sur ces peurs. Si vous ressentez une profonde souffrance, n'attendez pas pour prendre rendez-vous avec un psychologue. Vous avancerez ensemble au fil des séances vers votre bonheur.
🤗 Se comprendre, s'accepter, être heureuse... C'est ici et maintenant ! 
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Article proposé par Emilie Potenciano

Mon rêve de bonheur : toujours croire que tout est possible.

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15 avril · Wengood

8:57


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