La diplomatie comme base de départ
Une belle-mère envahissante qui nous dit comment on devrait s’habiller ou bien encore le beau-père qui fait des réflexions sur comment on les reçoit, ah quel plaisir 😅 ! Pour certaines personnes chanceuses, ça sera comme avoir une seconde famille, pour d’autres, c’est un cadeau empoisonné dont ils se seraient bien passés.
Toutefois, la psychothérapeute, Nathalie Uzan, donne ce premier conseil : il faut être le plus diplomate possible. On évite ainsi toutes les discussions qui peuvent générer du conflit, non pas que l’on en ait peur, mais au moins pour s’éviter des moments gênants et/ou de tensions 😬.
💬 C’est ce que je fais dans les premiers temps, lorsque je rencontre une nouvelle belle-famille. Je ne sais pas trop comment ils sont, quelles sont leurs habitudes. J’essaie donc de faire le plus de concessions possible. Néanmoins, je dirais, d’après mon expérience, qu’il faut peu à peu s’affirmer et poser ses limites 👀. |
Ne pas oublier d’imposer ses limites
En effet, cela évite de se faire écraser par nos beaux-parents. Imaginez que belle-maman vous sorte une phrase assassine, hors de question de se laisser marcher dessus ! Alors certes, ce n’est pas simple de s’affirmer, mais il est normal de dire que ça ne nous convienne pas, voire que ça provoque de la souffrance.
Non, ça ne va peut-être pas plaire, surtout si on a affaire à une famille toxique, mais au moins, on sort nos ressentiments, tant pis s’il y a de la soupe à la grimace. On se fait respecter et on pose une limite à ne pas franchir. Comme l’explique Christie Nester, "il faut faire comprendre que l'on a notre propre personnalité et nos propres limites".
👉 Et puis… On a le droit de pas être très famille hein 😬 !
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