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Le nombre de femmes d’affaires et de femmes cadres progresse, pourtant, elles continuent d’être écartées de la prise de décision économique à haut niveau. À peine 30% des dirigeantes de PME sont des femmes. Être une femme et s’imposer dans le monde du travail en tant que dirigeante, relève encore de l’atypisme, voire parfois du parcours du combattant (et en politique... des hommes comme les autres ?)... Freinées par la culpabilité et nos croyances, nous sommes souvent les reines de l'autosabotage 🙄.
Pour réussir au féminin, stop à l'autocensure
Surdiplômées, déjà plusieurs années d’études derrière elles, les femmes finissent malheureusement souvent par céder, nombreuses sont-elles, à renoncer à leurs carrières pour favoriser celle de leur mari ou se consacrer davantage à leur famille. Ce refus de se mettre en avant est également un phénomène appelé l’autocensure.
👉 En effet, contrairement aux hommes qui ont moins de complexes, les femmes osent peu souvent réclamer des postes qui leur font envie et qu’elles méritent. D'autant plus qu'elles sont nombreuses à souffrir du syndrome de l'imposteur de ou du syndrome de la bonne élève.
Ce constat, malheureux, fait référence au phénomène que le sociologue Pierre Bourdieu nomme “la soumission enchantée”, submergées par la pression sociale et le culte du chef de famille, elles auraient tendance à intérioriser les rôles sociaux traditionnels. « Élisabeth, pourquoi es-tu ici ? Pourquoi n’es-tu pas à la maison à élever des enfants ? » : Tant de stéréotypes sur le rôle social de la femme, qui viennent finalement étouffer l'ambition féminine. Elles doivent souvent choisir entre être patronne ou bonne mère... Certaines se limitent même par la peur ou du moins la crainte, inconsciente, de dépasser la carrière de leur mari ou de toucher plus.
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