5. J'ai développé l'art martial du "Non Merci"
"Viens, on fait du parapente !" "Tu devrais essayer le speed dating !" "Et si on s'inscrivait à ce marathon dans le désert ?"
Non, non et re-non. Chaque refus poli est une victoire de mon authenticité sur la pression sociale. Je ne suis pas antisociale, je suis sélectivement sociale. Nuance 😬.
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6. J'ai arrêté la course au "moi idéal"
Instagram voudrait me faire croire que je devrais parler trois langues, avoir des abdos dessinés ET savoir faire du macramé. Mais devinez quoi ? Mon moi actuel – celui qui regarde des séries en pyjama le dimanche – est déjà parfaitement valide. Je ne cours plus après une version 2.0 de moi-même qui n'existe que dans les fantasmes collectifs ✨.
7. Le fameux "épanouissement" reste un concept flou
Tout le monde prêche la sortie de zone de confort comme si c'était le Saint Graal du bonheur 🏆. Mais concrètement ? Qu'est-ce qui m'attend vraiment après avoir surmonté ma peur de parler en public ? Une médaille ? Un boost de sérotonine permanent ? Un sens caché de l'univers ? Pardon, mais je préfère mon bonheur tangible et immédiat à ces promesses nébuleuses.
8. Je ne suis plus le projet de transformation de personne
Méfiez-vous des évangélistes de la zone d'inconfort 📢. Ce sont souvent des gens qui ne supportent pas de voir quelqu'un tranquille dans son coin. Misère aime compagnie, comme on dit. Peut-être qu'ils regrettent secrètement tous ces efforts et veulent vous entraîner dans leur spirale masochiste. Plot twist : vous n'êtes le cobaye de personne.
9. Mon bonheur n'a pas besoin d'adrénaline
Le bonheur version 2024 doit apparemment inclure des sensations fortes, des défis constants et une transformation perpétuelle. Mon bonheur à moi ? Il ressemble à une tasse de thé, un bon bouquin et zéro notification WhatsApp 📚. Si votre définition du bonheur nécessite un équipement d'alpinisme et un coach de vie, grand bien vous fasse. Le mien tient dans mes chaussons moelleux.
L'avis de la rédaction : tout est question d'équilibre !La zone de confort est une amie qui nous veut du mal. Certes, on est bien avec elle mais elle nous empêche d'évoluer, c'est pourquoi il faut parfois en sortir. Mais attention, tout est question de dosage, comme le dit Ariane Calvo, psychiatre : « Il ne faut pas tomber dans le diktat de sortir de sa zone de confort à tout prix et tout remettre en cause, constamment. Cela pourrait être extrêmement perturbant pour notre cerveau, organisé pour considérer cette zone de confort comme fiable. La zone de confort, c’est aussi la praticité. » 👉 Si vous rencontrez des difficultés à sortir de votre zone de confort et que cela vous gêne ou vous empêche d'avancer, n'attendez pas pour prendre rendez-vous avec un coach afin de réaliser un travail sur vous et de mettre en place de nouvelles habitudes.
🤗 Se comprendre, s'accepter, être heureuse... C'est ici et maintenant ! #BornToBeMe
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