La phase de deuil
Même si perdre ses parents est dans l’ordre des choses et qu’il s’agit du cycle naturel de la vie, il n’en reste pas moins un moment difficile à traverser 💔. Qu’on ait 25 ou 45 ans, perdre ses parents est toujours un moment particulier dans une vie. Mais avant de parler de l’après-après, il est important de ne pas oublier le juste-après ; c’est-à-dire la phase de deuil.
Cette étape, c’est celle du grand bazar des émotions fortes 🤕. Abandon, solitude, tristesse, impuissance, culpabilité, colère, peur, angoisse, mais peut-être aussi un sentiment de libération ou de délivrance de certaines angoisses. Nous avons toutes des relations uniques avec nos parents ; les émotions qui nous traversent à leur mort sont donc naturellement différentes. C’est à cet instant précis que, une fois de plus, on met la culpabilité à la porte. Non mais c’est vrai, c’est déjà assez difficile comme ça, sans avoir à rajouter le regard et le jugement des gens sur notre façon de gérer ce deuil.
Chaque contexte est différent 👉 à quel âge ça nous arrive ? Est-ce une mort naturelle ou pas ? Était-elle soudaine ? Est-on enfant unique ? Quelle relation avions-nous avec eux ? Quels soutiens possédons-nous ?
Chaque deuil est vécu différemment en fonction de tous ces aspects et si nous ressentons telles émotions, il ne faut pas s’en vouloir, mais plutôt les écouter.
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