Une petite baisse de moral, un moment de stress et hop, vous vous jetez sur votre frigo ! On vous comprend, ça fait un bien fou de manger quand rien d'autre ne va. Mais au-delà des petits grignotages réconfortants, le plaisir de manger aurait un réel impact sur notre bien-être. La recette du bonheur peut être de toute sorte, mais le contenu de notre assiette peut contribuer à nous rendre le sourire et tant de choses encore. Alors on mise sur quoi pour retrouver notre bonne humeur ?
Et si la joie de vivre commençait dans votre assiette ? En choisissant les aliments qui vont agir sur votre cerveau et vos humeurs vous pouvez contribuer à votre bonheur jour après jour. Mais d'ailleurs, pourquoi manger fait autant de bien ? Quels sont les aliments du bonheur à privilégier ? Suivez le guide !
Les aliments qui contribuent à notre bien-être, ou aliments anti déprime sont ceux qui vont apporter des nutriments afin de stimuler les neurotransmetteurs de notre cerveau.
La sérotonine, c'est le neurotransmetteur de la détente et de la bonne humeur. C'est aussi elle qui favorise les comportements calmes et réfléchis. Elle est produite par notre cerveau à partir d'un acide aminé, appelé tryptophane.
Lorsque notre niveau de sérotonine est bas, bonjour l'irritabilité, l'agressivité, l'impulsivité et la dépression. Pour lutter contre ça, misez sur des aliments riches en tryptophane, comme les noisettes, le parmesan, la sardine, le chou, la dinde, la banane, le riz complet ou le chocolat noir. La vitamine D, présente dans les produits laitiers et les oméga-3, dans les poissons gras ou les fruits de mer, améliore l'action de la sérotonine.
Voilà deux neurotransmetteurs dont il vaut mieux ne pas manquer ! En effet, ils sont impliqués dans notre joie de vivre et notre libido. Si la dopamine favorise la motivation et la recherche du plaisir, la noradrénaline stimule l'éveil, l'attention et l'estime de soi. Œufs de poule, amandes, avocat, carotte, épinard, canard, citrouille et graines de sésame font partie des aliments dans lesquels on retrouve la dopamine et la noradrénaline. Alors on en use et abuse sans hésitation !
À noter : Les aliments comme la banane, l'avocat, les amandes ou les noix sont riches en magnésium très connu pour ses propriétés anti-stress. Aujourd'hui, nous sommes environ 70% à manquer de magnésium dans notre organisme. C'est pourtant un excellent relaxant naturel qui aiderait même à lutter contre les troubles de l'anxiété. |
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Que ceux qui ne se sont jamais jetés sur un paquet de chips en période de stress nous jettent la première pierre ! Eh oui, si certains aliments sont une véritable source de mieux être, d'autres ont des effets bien différents. D'ailleurs, pourquoi la malbouffe nous fait tant de bien ?
Prenons par exemple cette délicieuse pâtisserie qui vous fait les yeux doux. Cette dernière aura tendance à augmenter le taux de sucre dans le sang, notre corps doit donc produire plus de cortisol. Un taux de cortisol élevé provoque trouble du sommeil, maux de tête, anxiété et inquiétude. Lâchez donc cet éclair au chocolat et tournez-vous plutôt vers un verre de lait ou quelques graines. Certes, ça à l'air moins attirant de prime abord, mais le lait et les graines sont riches en sélénium, l'un des minéraux qui évite les troubles de l'humeur, la dépression et a le plus d'influence sur notre moral.
Au passage, on oublie aussi les chips, les aliments frits ou tout simplement gras. En effet, même si des études prouvent que ces aliments aident à retrouver le sourire pendant un événement triste, à la longue, cette euphorie s'estompe et laisse place à des symptômes dépressifs (sans parler de prise de poids) et c'est alors que débute le fameux cercle vicieux : Je déprime donc je mange gras, ce qui me fait déprimer, manger à nouveau gras, etc.
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Comment composer une assiette qui vous mettra de bonne humeur et vous rendra heureux ? On vous propose un menu pour vous aider : Un avocat accompagné de riz complet et de crevettes. Du gruyère, un kiwi pour la vitamine C et 2 carrés de chocolat noir. Et maintenant à vous de jouer !
Article proposé par Justine Guilhem
Mon rêve de bonheur : faire de ma vie un grand terrain de jeux
C'est une envie contre laquelle on ne peut pas grand-chose. C'est une envie qui vient des tripes : celle de faire un enfant. Et lorsque l'on rencontre des difficultés à tomber enceinte, c'est la vie elle-même qui semble nous jouer son plus mauvais tour. Et lorsque le vide devient une obsession, le mal d'enfant n'est plus une option, c'est une réalité. Le lâcher prise peut être une première solution.
Le rôle de parent est exceptionnel, mais très ingrat. Je suis jeune maman mais je le sais : quoi que je fasse, je ferai des erreurs. C'est comme ça. Parce que bien qu'on veuille le meilleur pour nos enfants, parfois, on se plante, on va trop loin, on en fait trop et on leur en demande trop. Ça ne veut pas dire qu'on ne peut pas s'améliorer, bien au contraire.
L’âge idéal pour bien vivre le divorce de ses parents ? Il n’existe pas. Certains diront qu’un enfant sera davantage touché par la séparation. Moi, je dis qu’un adulte n’est pas moins épargné. On nous prend parfois encore plus pour un arbitre et pour un médiateur vu qu'on est âgé... Mais ce n'est pas parce qu'on est adulte qu'on n'est plus leur enfant ! Comment faire que cette étape infernale se passe (à peu près) bien ? On vous explique.
Ah belle-maman qui nous lance les pires remarques dès qu’on la voit. Un plaisir n’est-ce pas ? J’ai l’impression qu’on a toutes eu affaire un jour à une belle-mère (BM) peu empathique et intrusive, voire cruelle ! Elle a beau être la mère de l’homme que l’on aime, on a parfois envie de l’étrangler après une énième phrase assassine. Un compte Instagram les a d’ailleurs répertoriées pour montrer ces "pépites". Mais pourquoi ce comportement ? Comment faire en sorte de bien s’entendre avec belle-maman ?
Nous fêtons toutes la nouvelle année avec une pointe d’angoisse et d’espérance, la suppliant d’être meilleure que la précédente et de nous apporter du bonheur à gogo. Mais pourquoi tant d’espoir, quand on sait que rien ne change en une nuit ? Ce passage est hautement symbolique. Explications.
Une fois, j’ai vu un homme s’effondrer sur le trottoir. Déjà, assister, c'est traumatisant, mais alors voir que les gens ne réagissaient pas a été peut-être encore pire. Moi-même j’ai douté : dois-je aller le voir ? Après quelques secondes d’hésitation, je suis allée voir ce monsieur qui faisait un malaise. Après coup, d’autres personnes se sont rapprochées, mais je me demande tout le temps : et si je n’avais pas bougé ? Est-ce que quelqu’un d’autre serait intervenu ? Eh bien, je n’en suis pas si sûre, à cause de l’effet témoin. Explication.
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